"Il faut écrire pour soi, c'est ainsi que l'on peut arriver aux autres." - [Eugène Ionesco]

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Un grand merci à Natalie Milligan, co-éditrice de la "Frazette" ! D'abord, j'aimerais dire un grand merci à Maddy Clarke pour avoir créé mon nom. Vous aurez compris qu'il s'agit de la contraction des mots "français" et "gazette" ce qui donne ce joli nom de Frazette. Alors, oui, Frazette me voici. Je suis le journal des étudiants du département de français de l'Université Dalhousie, à Halifax, en Nouvelle-Écosse. Mon but consiste à permettre l'accès à quelques-uns des meilleurs textes rédigés par les étudiants des cours de français du département. J'espère que vous aurez du plaisir à me lire et, surtout, que vous deviendrez membre et que vous laisserez vos commentaires. Bonne lecture ! Et au fait, comment trouvez-vous mon "image" ? Rendons à César ce qui revient à César... l'auteur de cette photo et de cette... créature... appellée au départ Manon-le-mannequin a été conçue par Julien Major, un étudiant québecois, dans le cadre d'un projet de finissants au cégep de Valleyfield. Manon incarne pour ainsi dire les mots. N'est-elle pas une belle représentation de notre Frazette ?

mercredi 5 mai 2010

"L'étranger" d'Albert Camus

Critique de L’Étranger

Par Laura Forrest


L’ Étranger aborde tous les sujets dont on a peur de discuter. Camus, originaire d’Algérie, était un chef de file de l’existentialisme. Cette philosophie se révèle à travers Meursault, le personnage principal. Il n’exprime aucune émotion, même quand sa mère meurt. À la fin, il est puni pour ne pas avoir montré de sentiments.

J’ai lu ce roman il y a deux ans, mais je me souviens de chaque détail. Souvent on se trouve dans une situation absurde, mais on essaie de l’ignorer. Camus fait vivre Meursault dans un monde absurde, d’une façon impassible. À la fin, il est est mis à mort par un tribunal, et le lecteur sent que c’est parce qu’il a choisis d’être différent - de ne pas prendre la vie trop au sérieux.

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