Par Yaroslava Krysina
Chère Dulcinée,
C'était le soir et j’étais seul. La vie n’était plus intéressante pour moi. J’étais désespéré. Mais, soudain, je vous ai vue… Vous flottiez comme un papillon transporté par le soleil du printemps. Votre voix était douce et belle comme le chant du rossignol. Vos yeux étaient brillants comme deux grandes émeraudes. Votre manière de marcher était pleine d’élégance et de grâce. Non ! Vous ne marchiez pas ! Vous voliez comme un bel oiseau exotique. Je suis tombé amoureux de vous. S’il-vous-plaît, ne riez pas… Ne torturez plus mon esprit ! Ma Dulcinée, je vous aime !
Métaphore filée : la nature
jeudi 6 mai 2010
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire